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 09/06/2008 - 10 règles d’or pour des vacances responsables

Voyages-sncf.com propose dix règles d'or pour donner du sens à ses vacances en respectant la planète et ses habitant, qu’il s’agisse d’un trekking à l’autre bout du monde ou d’un séjour à l’hôtel ou en camping dans l’hexagone. Ces dix règles d'or suggèrent, par exemple, de calculer avant de partir son indice "environnement" grâce à l'écocomparateur, de compenser son voyage en reversant une somme à des associations à but non lucratif qui financent des projets d’énergies renouvelables ou de reforestation comme Action Carbone, de préparer un sac responsable, de respecter les coutumes locales… Ces 10 règles seront publiées la semaine prochaine sur le blog spécial tourisme responsable de voyages-sncf.com www.voyageur-responsable.com Pour en savoir plus

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26/05/2008 - Le Comité 21 s’engage au côté du Guide du Routard

Les éditions du Guide du Routard publient le 1er guide sur le tourisme durable. Engagé sur le sujet depuis 2004 avec son programme « Tourisme durable », le Comité 21 a rejoint l’équipe du Routard, au côté de l’Ademe et de Voyages-sncf.com.
Climat, pollution de l’eau des sols, de l’air, dégradation de la biodiversité… quels impacts auront les dégradations de l’environnement sur l’économie du littoral et de la montagne ? Comment concilier flux touristiques et équilibres territoriaux ? Comment coupler développement touristique et développements local et humain ? C’est la question de la soutenabilité d’un des principaux secteurs économiques français qui est posée.
En France, la consommation touristique génère 8,3% du PIB, emploie près d’un million de personnes (plus de 3% de la population active) et a permis de dégager un solde positif dans la balance commerciale de près de 9 milliards d’euros (2005), soit plus que les secteurs de l’automobile ou de l’agro-alimentaire.
Le guide du Routard du Tourisme durable permet ainsi de concilier développement durable et essor touristique, en proposant à chacun d'appréhender l'impact environnemental de son voyage et de participer au développement du tourisme durable. Cet ouvrage incite à comprendre les notions qui gravitent autour du tourisme durable (équitable, solidaire, responsable, etc.) ; à connaître les acteurs (associations, organismes, labels, chartes, initiatives des entreprises…) et à savoir où et comment partir en France, en Europe et dans le bassin méditerranéen.
Le Comité 21 a apporté son expertise à l’élaboration de ce guide, en s'appuyant sur son groupe de travail « Tourisme durable » en métropole et dans les DOM. Il publiera en juin 2008 un guide méthodologique pour informer, sensibiliser, former, encourager et (enfin) passer à l’action.

En librairie depuis le 21 mai 2008, au prix de 9,90 euros

Contacts :
Comité 21 - Ugo Toselli, toselli@comite21.org, 01 55 34 75 28
Guide du Routard - Frédéric Papet, info@comprod.fr, 01 56 43 36 38
Ademe - Denis Tapero, denis.tappero@ademe.fr, 01 47 65 22 01
Voyages-sncf.com - Samira Chakkaf Andalouci, schakkaf@voyages-sncf.com, 01 45 19 29 13

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 15/04/2008 - Tourisme responsable : initiative innovante de Voyageurs du Monde

Voyageurs du Monde lance une contribution systématique à la réduction des émissions de CO2 sur tous ses voyages. Dès janvier 2007, le voyagiste proposait une compensation volontaire du coût environnemental des trajets en avion à tous ses clients, qui s'est avérée être un échec. " Si le projet a suscité de l'intérêt au début, seul 1% de nos clients a réellement payé le coût du CO2 émis par son voyage", a expliqué à l'AFP Jean-François Rial, PDG de Voyageurs du Monde. Aujourd'hui, il a décidé d'intégrer, dans le coût global des voyages, le coût environnemental d'un quart de tonne d'équivalent CO2 sur un itinéraire en Europe ou au Maroc (soit 5 euros) et d'une demi tonne équivalent CO2 pour le reste du monde (soit 10 euros). La totalité de cette contribution sera utilisée dans le cadre d'un projet de reforestation à Madagascar ou au Cambodge en 2009. www.vdm.com

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 03/04/2008 - Ecolabel européen pour le Club Med d'Opio Provence

Le Village Club Med d’Opio, près de Grasse, dans les Alpes Maritimes, vient d’obtenir « l’Ecolabel Européen pour les hébergements touristiques ». Il est aujourd’hui le seul village de vacances en France à avoir reçu cette certification. L’Ecolabel Européen pour les services d’hébergement touristique certifie que les établissements concernés sont engagés dans la préservation de l’environnement et, en particulier, qu’ils mènent une politique de gestion efficace de l’énergie, de l’eau et des déchets, et qu’ils optent pour la mise en valeur du site et la sensibilisation du personnel et des clients. L’obtention de la certification est fondée sur un système de points reposant sur 84 critères (37 critères obligatoires et 47 critères optionnels).
Par exemple, à Opio, l’électricité achetée provient pour plus de 40% de sources renouvelables (22% demandés pour l’Ecolabel), le rendement des chaudières est supérieur à 90% et le système de climatisation est à haute efficacité. Les ampoules sont à basse consommation dès que l’utilisation le permet (éclairage sur des durées continues). Le village est équipé de pompes à chaleur et d’un système de récupération de chaleur sur les groupes froids, et les chambres de systèmes d’arrêt automatique de la climatisation, de coupe-circuits centraux et de régulateurs de débits des robinets et douches. Le tri sélectif des déchets est organisé, et sont ainsi séparés : verre, emballages, papier, bois, et, bien sûr, piles, ampoules, cartouches d’encre, et même bouchons de bouteilles, remis à des associations. Autres exemples : les clients sont invités à utiliser l’eau de façon raisonnable, et les équipes de nettoyage formées, entre autres, à une utilisation minimale des produits détergents. Les espaces verts et l’Oliveraie sont entretenus selon les principes de l’agriculture raisonnée, qui limite le plus possible l’utilisation de produits chimiques et préfère les pratiques d’amendement ou d’insecticides naturelles. Les clients, en retour sont conviés à des promenades-découverte qui les sensibilisent à ces méthodes originales. Autre initiative, le Club Med est partie prenante du projet de recherche européen ‘DeSol’, et le village d’Opio en Provence servira prochainement de terrain expérimental pour un prototype d’appareil de désalinisation de l’eau de mer par énergie solaire.
www.clubmed.net

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 05/03/2008 - Air France-KLM s'engage

Dans la logique de sa participation active aux travaux du Grenelle de l’environnement, Air France adhère à la Convention sur les engagements pris par le secteur aérien. Le 28 janvier 2008, Jean-Cyril Spinetta, Président d'AIR FRANCE KLM ainsi que d'autres acteurs importants du transport aérien français, ont signé la Convention avec Jean-Louis Borloo, ministre de l’Écologie, du Développement et de l’Aménagement durables. L’investissement annuel de 2 milliards d’euros dans les années à venir contribuera à la réalisation des objectifs chiffrés suivants :
- Réduction de la consommation moyenne par passager à 3,70 litres au 100km à l’horizon 2012 ;
- Réduction des émissions de CO2 de 20% sur la desserte métropole / DOM entre 2005 et 2012 ;
- Réduction de 5% des émissions domestiques de CO2 entre 2005 et 2012 ;
- Réduction de l’impact sonore de l’activité à un niveau inférieur à celui de 2005.
Dans le cadre de cette convention, Air France soutient aussi l'introduction de l'aérien dans un système euroépen d'échange de permis d'émissions.
Pour en savoir plus

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 22/01/2008 - Un label pour les hébergements touristiques

Le secteur du tourisme voit apparaître de multiples labels, du label international, Green Globe, à l'ATR (Agir pour un Tourisme plus Responsable), premier label officiel français certifié par l'AFAQ-AFNOR, en passant par le Pavillon Bleu. La Clef verte est le label français, adapté du label danois de la fédération hôtelière HORESTA, aux campings et aux hôtels coordonné par l'office français de la Fondation pour l'Education à l'Environnement en Europe (FEEE). Il récompense les hébergements touristiques en matière de gestion environnementale. En 2007, 234 hébergements français ont été labellisés (199 campings, 21 hôtels et 14 gîtes et chambres d'hôtes), et 550 hébergements à l'international. www.laclefverte.org

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 21/11/2007 - Paradise Bay Resort and Spa, un éco-hôtel

Paradise Bay Resort and Spa est un petit domaine hôtelier de 18 chambres et suites ouvert en avril 2007 à la Grenade dans les Caraïbes qui a fait du développement durable un axe principal d’innovation. La consommation d'énergie est minimisée : l'eau est chauffée par énergie solaire, le système d'air conditionné récupère la chaleur pour aussi chauffer l'eau, l'électroménager est à basse consommation, des lampes solaires sont généralisées. La production d'énergie se fait sur place puisque l'hôtel a installé une éolienne  de 80kW produisant 180 000 kWh à l'année. La consommation d'énergie étant estimée à 120 000 kWh, l'hôtel sera alors à énergie positive. Il prévoit aussi d'utiliser du biocarburant issu des huiles de cuisine usagées. Les émissions de CO2 liées au séjour des visiteurs sont compensées avec le programme Carbon Free Travel (20 arbres sont plantés par tonne de CO2 émise). Vols, transports sur place et activités peuvent être compensés par les clients grâce à ce même programme. Paradise Bay veille également à renforcer son ancrage territorial en employant du personnel local et en contribuant, par le "Recovery Grenada Council", aux efforts locaux pour parer aux soins urgents après le passage de l’ouragan Ivan. Un programme de revitalisation agricole sera mis en place à partir d'avril 2008 pour encourager les fermiers à revenir dans la région et développer les achats de fruits et légumes locaux alors qu’ils sont aujourd’hui le plus souvent issus de l’importation.

 

www.paradisebayresort.net

 


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L’adaptation au changement climatique